L’histoire du vêtement : le concept ARTIST (dernière partie)

Démarquée, la griffe d’Art-à-Porter ARTIST est née du 2.0 en 2020. Forts de leur expérience commune en matière de mode vestimentaire, ses fondateurs – Brigitte Martin et François Gadrey - ont complètement repensé leur concept. Ils ont l’art dans la peau et l’art de le raconter autour de collections spectaculaires, de produits personnifiés et rares, en mode numérique.

Tout en cultivant le mystère, les deux dirigeants et leurs collaborateurs impliqués se montrent actifs sur les réseaux sociaux sans presque rien masquer de l’histoire et des valeurs de l’entreprise. Leur système efficace et sur-mesure a bouleversé le parcours de leur clientèle. Chez ARTIST, la consommatrice d’hier vit son expérience inoubliable de coproductrice rassurée par cette marque à part qui apporte sa modeste, mais sincère, contribution environnementale à la société. Et qui discute d’initiatives positives ou de bien-être social parce que socialement consciente.

L’équipe tout entière a su mettre en place une authentique forme de proximité et humaniser un lien particulier, teinté de simplicité et de confiance. L’histoire du vêtement ARTIST se poursuit avec délectation tant chez ceux qui la provoquent que chez celles qui la suivent.

En 2022, chaque femme trouve facilement son modèle sur notre site !

Dans cet environnement de relation privilégiée, un clic suffit pour être non seulement connecté(e) mais en phase. Pour sûr, dans cette « famille », on a de la considération, on sait écouter, répondre à toutes les questions, remercier les partages… Y compris la direction qui se montre disponible et très ouverte à ces conversations directement échangées, souvent chaleureuses, toujours propices à la réflexion, la remise en question, concrètement à l’avancement des choses.

Attendre la prochaine présentation de collection en ligne, suivre les reportages ou interviews en vidéo, ces rendez-vous au pouvoir de rassemblement étonnant restent unanimement attendus. Ils traduisent le caractère émotionnel, la valeur symbolique liée à la fabrication d’un vêtement encore de nos jours. 

La transformation du monde de la mode

Inéluctablement, la transition numérique a donc conduit l’industrie de la mode et du luxe à se positionner sur les réseaux sociaux, supports de communication d’un genre nouveau.

Entrés dans le jeu dans les années 1990, Internet et les réseaux sociaux dans leur essor fulgurant poussent de plus en plus à prendre le virage du digital.

En 2004 : Facebook, en 2006 : Twitter, Instagram et Pinterest suivent en 2010, Snapchat en 2016… Toutes ces différentes incitations inondent l’univers de la mode via les médias, internet et la mondialisation depuis la naissance des « milléniaux » - la génération « Y » née entre 1980 et 2000 –. Les défilés sont retransmis en direct sur les réseaux, les images accessibles à toutes et tous sont partagées, commentées, adorées, détestées. La mode n’est plus uniquement enfiévrée par les stars de la musique, les acteurs ou les présentateurs, comme cela était le cas lors des dernières décennies, mais aussi par ceux que l’on appelle des influenceurs. Depuis le début des années 2010, les blogueurs, les it-girls, les mannequins ou les célébrités servent d’unité de mesure aux nombreuses tendances de notre époque.

Des icônes mode issues de la politique, comme l’ancienne première dame Michelle Obama ou la duchesse de Cambridge Kate Middleton, influent sur une génération entière de femmes en matière d’élégance et d’assurance.

Face aux géants de l’e-commerce le secteur du luxe a lui aussi décidé de prendre le contre-pied, trouvant le juste équilibre entre proximité et image d’excellence.

Les réseaux sociaux ont déjà débuté la métamorphose planétaire du vêtement et de la mode plus globalement. Aucun doute, à voir la façon dont les produits sont consommés, représentés, relayés, etc.

En parallèle, chaque consommatrice/teur est aujourd’hui devenu(e) un(e) véritable actrice/eur de l’univers de la mode. Elle/il n’a plus seulement un regard extérieur, mais elle/il exerce sa suprématie quand il s’agit de profil gérant de grosses audiences.

Témoin stylistique de son époque, la mode s’est employée depuis la préhistoire (ou presque) à extirper le vêtement de ses attributions premières donc fonctionnelles pour lui assigner des velléités socioculturelles jouxtées de préoccupations purement esthétiques.

Une révolution – de plus ! – bien en marche, et qui semble n’en être qu’à ses balbutiements dans ce XXIe siècle.

Pour autant, ARTIST qui s’appuie énergiquement sur l’ensemble de ces outils numériques conserve sa très forte identité. À distance salvatrice des injonctions dans l’air du temps, les deux créateurs préservent leur libre arbitre à l’instar de leur communauté : des femmes indépendantes, curieuses de ce qui se passe autour d’elles mais déterminées dans leurs choix, notamment celui de leurs vêtements.

Publié par Viviane VGM, Rédactrice du Magazine Artist La marque.

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